Documentation

La forge traditionnelle

La forge traditionnelle

Si la forge est aujourd'hui de plus en plus pratiquée et popularisée, la forge traditionnelle est la méthode de travail du fer qui est la plus près de la méthode ancestrale, et la plus artisanale. 

Le Forgeron, par The French Canadian Genealogist

Le forgeron était l'une des sept principales professions de la métallurgie en Nouvelle-France, les autres étant le serrurier, le chaudronnier, le ferblantier, l'armurier, le taillandier et l'arquebusier.

Les soufflets de forge et leur réparation, par Jacques Benmussa

Les soufflets de forge et leur réparation, par Jacques Benmussa

Le forgeron a la maitrise complète de l’objet du début à la fin, il fabrique et répare aussi ses propres outils selon les besoins de sa production. Avec des moyens très simples : des planches et une peau, il attise les braises qui atteignent des températures permettant de faire fondre le fer ou le travailler.

Les forgerons africains

Plusieurs peuples d'Afrique travaillaient le métal à leur façon, avant même l'arrivée de colons européens. On peut lire, dans cet extrait anthropologique datant de 1872, que des tribus africaines y forgeaient le fer à leur propre manière, très habilement.

Les canons de fusils forgés, par Jacques Benmussa

Les méthodes de fabrication variaient d’un atelier à l’autre en fonction de l’expérience des forgerons et de l’outillage. Dans certains cas il fallait soixante chaudes et trois heures pour forger un canon de fusil d’infanterie; il fallait trente chaudes pour forger un canon de fusil de mousqueton (plus court) et une heure quarante cinq minutes de labeur.